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Débutant en systèmes et logiciels en environnements distribués

I. Installation de VirtualBox


 I.1 VirtualBox
Pour mettre en place les machines virtuelles, on a utilisé le logiciel présenté VirtualBox, car très répandu et léger. VirtualBox [ref07a] propose un support optionnel des instructions de virtualisation Intel VT et AMD AM-V. S’il en est de fait utilisable sur toutes les plates formes x86 32 et 64 bits, l’utilisation de ces instructions dédiées accélère notablement les systèmes invités. Il permet une émulation de tout système PC, donc des systèmes d’exploitation invités de typesWindows. VirtualBox est un produit qui se présente comme seule solution professionnelle de virtualisation distribuée sous licence GPL. Il se présente accompagné d’utilitaires destinés à faciliter la création de machines virtuelles, disques et montages CD/DVD (fichiers .iso). Cependant, sur la version Open Source, l’USB ne s’y trouve que depuis peu, réservé auparavant à la version commerciale. La version Open Source est disponible packagée, pour un nombre important de distributions (dont OpenSuse, Mandriva, Fedora, RHEL et Ubuntu).

Techniquement, VirtualBox est une solution de virtualisation efficace, potentiellement accélérée sur
architecture équipée des extensions virtualisation x86. VirtualBox émule un PC complet, permettant une variété en théorie totale des systèmes d’exploitation invités. Une limite, à savoir : le modèle de carte réseau émulé, dont le support a été supprimé de Windows Vista, impose à ce dernier un démarrage sans réseau et l’installation d’un driver afin d’être pleinement fonctionnel.
Produit de la société allemande Innotek GmbH, il est en théorie possible d’utiliser VirtualBox pour
virtualiser tout système d’un PC, même si certains systèmes (FreeBSD) ont posé des problèmes par le
passé. Notons l’aspect sécurisant de l’approche virtualisation : c’est le système invité qui plante, sans
aucune conséquence fâcheuse sur le système hôte. Ce défaut a été corrigé depuis la version 1.5.2 qui permet d’installer FreeBSD. La seconde remarque concernant VirtualBox, c’est qu’il est relativement gourmand en RAM, bien plus qu’en CPU. La consommation en RAM est déjà le talon d’Achille des virtualiseurs complets, mais VirtualBox se montre particulièrement gourmand. Nos machines dans le cadre de ce travail disposent au minimum d’un Giga octet de Mémoire vive.
Bien ergonomique, elle est fortement inspirée des aspects agréables des habitudes de Windows, avec
un assistant de création de machines virtuelles utilisable avec un recours minimum aux aides en ligne.
Démarrer, arrêter ou gérer plus généralement des VM (virtual machine) est aussi d’une simplicité bien pensée. Cependant, cette ergonomie intéressante gagnerait à s’équiper aussi de fonctionnalités de contrôle à distance, lesquelles manquent aux administrateurs. Dans de ce travail, tous les contrôles sont faits à distance pour administrer les MV sur les postes physiques.

La solution de virtualisation complète s’est montrée la plus gourmande, la limite se trouvera
certainement en terme de densité, en raison de la consommation forte en RAM. D’ailleurs pour cette
utilisation particulière, une virtualisation complète consommera toujours plus de RAM qu’un isolateur. Si une console d’administration à distance sans nécessité de support graphique sur le serveur venait à voir le jour, VirtualBox gagnerait beaucoup sur cet aspect.
En terme de performances subjectives, tout va bien tant que la consommation de la RAM ne ralentit
pas notablement la machine hôte, puis par conséquent toutes les machines virtuelles. On conseillera donc d’utiliser cette solution sur une machine généreusement dotée. Heureusement, une version pour architecture x86-64 existe, ce qui permet de l’installer sur une machine confortablement dotée. Il faudra prévoir une machine généreusement dotée, et pourquoi ne pas envisager l’architecture x86-64 avec laquelle VirtualBox est compatible et qui dispose d’un espace adressage très vaste. VirtualBox a été le plus simple à utiliser, le démarrage d’une machine virtuelle demandant simplement quelques clics, et l’installation à partir d’un CD (compact disk) n’ayant pas posé le moindre problème pour le socle 2005.
Au terme de cette présentation, il a été choisi VirtualBox qui possède plusieurs avantages : il permet de faire fonctionner n’importe quelle version de Windows (3.1, 95, 98, NT, 2000, XP, Vista, Seven), n’importe quelle distribution Linux, OS/2, FreeBSD, NetWare, Solaris. Il s’agit d’un système libre basé (à l’origine) sur une licence GPL. Les fonctionnalités sont nombreuses : la création très simple de “snapshots” afin de pouvoir restaurer très rapidement l’état d’une machine virtuelle, il est possible d’utiliser des périphériques USB, le système est particulièrement simple et intuitif VirtualBox est rapide, multiplateforme et aussi intègre le mode de connexion réseau Bridge.

I.2. Modules USB 

pour installer le module USB sur Windows, Linux, Fedora etc..,  se rendre sur : 
 http://dlc.sun.com.edgesuite.net/virtualbox/4.3.12/

Oracle_VM_VirtualBox_Extension_Pack-4.1.12-77245


[Abou]  Aboubakar, Infrastructure dynamique de calcul basée sur les machines virtuelles, Master, Faculté des Sciences,  Université de Ngaoundéré, Année 2012


I.3 Sauvegarde et Récupération d'une machine virtuelle VirtualBox ou VMware  


II. MySQL  

1. Installer MySQL 


  •      installer MySQL
  •      yum install mysql-server mysql php-mysql

2.  Configurer MySQL 

     Définissez le service MySQL pour démarrer au démarrage
  •      chkconfig - niveaux 235 mysqld sur 

3.   Démarrez le service MySQL 

        Démarrez le service mysqld
  • /etc/init.d/mysqld start;   

4.  Connection à MySQL 

  • mysql -u root  # sans le mot de passe
  • mysql -u root -p   # avec le mot passe

5. Définition du mot de passe de l'utilisateur root pour tous les domaines locaux 


  •      MOT DE PASSE SET POUR 'root' @ 'localhost' = PASSWORD ('new-password');
  •      SET PASSWORD FOR 'root' @ 'localhost.localdomain' = PASSWORD ('new-password');
  •      SET PASSWORD FOR 'root' @ '127 .0.0.1 '= PASSWORD (' new-password '); 

6. Importer une base de données sous MySQL


La commande en ligne mysql permet également d'importer des données. Il suffit pour cela d'utiliser la redirection < et d'indiquer le fichier dump contenant les instructions SQL à importer : mysql -h host -u user -ppass base_de_donnees < fichier_dump


La notation suivante est, une fois de plus, également possible : mysql --host host --user user -passwordpass base_de_donnees < fichier_dump

exemple :  mysql -u root -p smsd < /home/cinfopres/Downloads/mysql.sql

7. Récupérer son mot de passe root mysql

a. connection  en root
On coupe le service lancé :

  • /etc/init.d/mysqld stop
On créé un fichier de commande qui sera chargé au lancement :

  • echo "SET PASSWORD FOR root@localhost=PASSWORD('cinfopres');" > /tmp/mysql-init
On lance mysql-safe avec les commandes pour charger ledit fichier :

  • /usr/bin/mysqld_safe --init-file=/tmp/mysql-init &
Il ne reste plus qu'à tuer la tâche et relancer le serveur mysql normalement.

  • /etc/init.d/mysqld start

b.  Ajouter de nouveaux utilisateurs à MySQL

Vous pouvez ajouter de nouveaux utilisateurs en utilisant des commandes GRANT :
user/utilisateur : cinfopres;
mot de passe : remplacer la chaine 'un_mot_de_passe' .

mysql> GRANT ALL PRIVILEGES ON *.* TO 'cinfopres'@'localhost'
      IDENTIFIED BY 'un_mot_de_passe' WITH GRANT OPTION;




Voir http://www.kookyoo.net/blog/developpement/changer-root-mysql-mot-de-passe-perdu-password-recovery-recuperer-00000803

8.    Quitter MySQL 

  •      exit;

III. Conflit de port au démarrage de Xamp

1. Installation de Xamp

Problème de lancement de MySQL  (problème de port  3306)

solution 1:


  1. Quitter Xampp server
  2. Ouvrir le répertoire    "C:\xampp\mysql\data"
  3. supprimer le fichier   "ibdata1" 
  4. Redémarrer  xampp server
solution 2:

si VmWare est installé alors ce conflit concerne le port 3306. Vous pouvez allez.


IV. Ouvrir son Disque ou Partition formaté en  Systèmes ext  sous Windows 



c'est possible et mieux encore ils sont libres :

a. Explore2Fs
Explore2Fs est un utilitaire gratuit, autonome et portable qui se comporte comme un gestionnaire de fichier :
voir : http://www.chrysocome.net/explore2fs


b. DiskInternals Linux Reader


L'éditeur DiskInternals est connu pour ses nombreux produits de qualité dans le domaine de la récupération de données.

V- Sauvegarder vos penses bêtes(StickyNotes)

Vous pouvez trouver le fichier StickyNotes dans le disque C : précisément dans :
C:\Users\Nom utilisateur\AppData\Roaming\Microsoft\Sticky Notes\.  Le copier et sauvegarder dans un répertoire ou tout autre support.

Pour le réutiliser, que ce soit sur votre machine formatée ou sur une autre, il suffit juste de copier ce fichier dans le même repertoire i.e: C:\Users\Nom utilisateur\AppData\Roaming\Microsoft\Sticky Notes\.


VI - Clover


        A la manière des navigateurs Web qui vous permettent de naviguer sur plusieurs sites Web grâce aux onglets, Clover est un utilitaire permettant dans une seule fenêtre d’Explorateur de naviguer simultanément dans plusieurs dossiers grâce aux onglets.





VII - Bloquer les publicités sur Google Chrome



AdBlock Plus, fait son travail ! En fait, il existe plusieurs extensions permettant de se débarrasser des publicités. AdBlock Plus est une extension créé dans le début pour le navigateur Firefox. Cela n’empêche qu’elle est devenue l’une des meilleures extensions dans Google Chrome, elle permet de bloquer tous types de publicité automatiquement, créer des listes de filtrage et bloquer manuellement des bannières images ou flash !
Pour l’installer, ouvrez votre navigateur Google Chrome,entrez vers ce lien : https://chrome.google.com/webstore/detail/adblock-plus/cfhdojbkjhnklbpkdaibdccddilifddb/related.
 Cliquez ensuite sur “+ Ajouter à Chrome”.

Étape 1 : Si vous ne l'avez pas déjà, récupérez Google Chrome ;


Étape 2 : Procédez ensuite à l'installation en double cliquant sur l'exécutable tout juste téléchargé.

Étape 3 : Une fois Chrome installé sur votre ordinateur, passez à l'installation de l'extension qui vous permettra de bloquer les publicités. Téléchargez Adblock depuis Clubic, vous êtes alors redirigé sur le site des extensions Google Chrome.

Étape 4 : Cliquez simplement sur Installer, l'installation s'effectue en quelques secondes.

L'extension AdBlock pour Google Chrome va vous permettre de filtrer instantanément la majeure partie des publicités sur le web. Voici comment faire pour l'installer et le configurer :

Lire la suite sur : http://www.easytutoriel.com/comment-bloquer-les-publicites-sur-chrome-firefox-ie-opera-et-safari/



VIII- Définition des variables d’environnement JAVA_HOME et PATH

  1. Sélectionnez Démarrer > Panneau de configuration > Système.
  2. Cliquez sur l’onglet Avancé, puis sur Variables d’environnement.
  3. Dans la zone Variables système, cliquez sur Nouveau.
  4. Dans la zone Nouvelle variable système, tapez JAVA_HOME comme nom de variable.
  5. Dans le champ Valeur, spécifiez le chemin d’accès au répertoire dans lequel vous avez installé le JDK Java. Le répertoire spécifié doit contenir le sous-répertoire /bin. Par exemple, C:\Program Files\Java\jdk1.6.0_26.
  6. Cliquez sur OK.
  7. Dans la zone Variables système, sélectionnez Chemin et cliquez sur Modifier.
  8. Ajoutez %JAVA_HOME%\bin; au début de la valeur.
  9. Cliquez sur OK.


IX- Effacer toute la mise en forme du texte



Dans Microsoft Office Word 2007 ou Microsoft Office PowerPoint 2007, vous pouvez facilement effacer toute la mise en forme (gras, souligné, italique, couleur, exposant, indice, etc.) de votre texte afin de rétablir ses styles de mise en forme par défaut.
1. Sélectionnez le texte dont vous souhaitez effacer la mise en forme.
2. Sous l'onglet Accueil, dans le groupe Police, procédez comme suit :
3. Dans Word 2007, cliquez sur Effacer la mise en forme.
4. Dans PowerPoint 2007, cliquez sur Effacer toute la mise en forme.



X- Vider les caches


Pour vider le cache DNS sous Microsoft Windows (Win XP, Win ME, Win 2000 et Win 98) :
Démarrer -> Exécuter -> tapez cmd
Dans la fenêtre DOS, tapez ipconfig /flushdns
Et voilà ! Votre cache DNS a été vidé.


Pour vider le cache DNS sous Linux, il suffit de relancer le processus nscd :
Tapez /etc/rc.d/init.d/nscd restart dans un terminal pour relancer nscd
Une fois la commande exécutée, votre cache DNS aura été nettoyé


Pour vider le cache DNS sous Mac OS X :
Si vous avez Léopard, tapez dscacheutil -flushcache... Sinon tapez lookupd -flushcache dans un terminal


XI - CENTOS (Système RHEL)

1- Ajouter un utilisateur web

             L'ajout d'un utilisateur web dans le groupe www-data  pour le système Centos, il s'agit de apache

NB: vous pouvez aussi tester : www, wwwrun, apache, car dépendent de la distribution.


2- Réglage des paramètres de SELinux

RHEL et distributions dérivées comme Fedora et CentOS sont livrés avec SELinux activé (Security Enhanced Linux) fonctionnant en mode "exécution". Cela peut conduire à des messages "erreur interne du serveur» lorsque vous essayez d'appeler le Nagios-CGI.

Vérifiez si SELinux fonctionne en mode application

  #> getenforce

Réglez SELinux en mode "permissive"

  #> setenforce 0

Pour rendre cette modification permanente, vous devez ajuster ce paramètre dans / etc / selinux / config et redémarrer le système.
avoir  - FILLEZILA

3- Modifier, Basculer  la langue du clavier anglais/français  ou autre

Aller dans Système → Paramètres Système→ Clavier.

Pour Modifier:

  • cliquer sur disposition (layout);
  • cliquer sur ajouter(add) ;
  • choisir la langue dans la liste;
  • cliquer sur ajouter;
  • choisir dans la liste ajouter (cliquer le bouton d'option)
  • fermer la boite de dialogue clavier
4- Désinstallation   d'un Package
  a. installé  avec la commande make
          #>  make distclean  et valider


5- checking for ssl headers... configure error cannot find ssl headers centos


La vérification des en-têtes de SSL ... configurer erreur ne peut pas trouver têtes ssl centos. Vous pouvez obtenir cette erreur lors de la configuration des paquets de la source sous Linux. la vérification des en-têtes de SSL ... erreur de configuration ne peut pas trouver têtes ssl CentOS.

Raison: -
Il ne pouvait pas trouver les paquets pour les en-têtes de ssl

Solution:
installer le paquet openssl-devel

dans Centos Linux, en utilisant yum.
[root @ cinfopres nrpe-2.15] # yum install openssl-devel


6- Désinstallation une installation faite avec bundle : 

Connectez-vous en tant qu'utilisateur racine, tapez la commande suivante

~] # Vmware-installer-l

Cela permet d'afficher le nom de votre produit et la version du produit installé par VMware.

Exemple:

Nom du produit Version du produit 
========================
vmware-player 4.0.1.528992

Remarque Nom et version, commande Utilisez suivante pour désinstaller

~] # Vmware-installer-u {nom du produit} {produit version}

Exemple :
~] # Vmware-installer-u vmware-workstation 8.0.1.528992

Maintenant, vous pouvez désinstaller avec une interface graphique.

* Cette situation est commune pour tous VMware. Bundle fichiers d'installation. Ex: VMware Workstation, VMware Player, etc

  7.  Installer Opera Browser 12.16 Web dans CentOS / RHEL et Fedora 



Opéra est un navigateur web moderne avec un style moderne avec des fonctionnalités puissantes
 



Étape 1: Téléchargez Opera paquetages RPM

Pour télécharger la dernière version opéra pour votre distribution Linux aller à télécharger Opera page. Vous pouvez également utiliser ci-dessous des liens pour télécharger opéra 12.16 pour les systèmes CentOS / RHEL et Fedora directement à partir de la ligne de commande.
Pour les systèmes 32 bits:

# Wget http://get.geo.opera.com/pub/opera/linux/1216/opera-12.16-1860.i386.rpm

Pour les systèmes 64 bits:

# Wget http://get.geo.opera.com/pub/opera/linux/1216/opera-12.16-1860.x86_64.rpm

Étape 2: Installer Opera Package

Après avoir téléchargé les paquets rpm Opéra, permet de l'installer en utilisant l'utilitaire rpm de ligne de commande.

# Rpm -ivh opéra-12.16-1860.i386.rpm
[Or]
# Rpm -ivh opéra-12.16-1860.x86_64.rpm

Étape 3: Lancez Opera

Après installé avec succès navigateur d'opéra, utilisez la commande pour ouvrir le navigateur de l'interface graphique ou utilisez le menu de l'interface graphique pour le lancer suivant.



8.  Installer Apache OpenOffice 4.1.0 dans CentOS/RHEL & Fedora (source :http://tecadmin.net/install-apache-openoffice-on-centos-rhel-and-fedora/)

 

 Cette façon de guider vous aidera à installer Apache OpenOffice 4.1.0 sur les systèmes CentOS, Fedora et RHEL. Si vous utilisez Libre exercice ou une version antérieure d'Apache OpenOffice, Nous recommandons de supprimer ce système à partir.

Configuration requise:

  • La version du noyau Linux 2.6 ou supérieur, version 2.5 ou supérieure glibc2
  • 256 Mo de RAM (512 Mo recommandés)
  • 400 Mo d'espace disque
  • X-Server avec résolution 1024 x 768 ou plus avec au moins 256 couleurs
  • Java Runtime Environment (JRE) 1.5.x ou plus tard


Étape 1: Vérifiez la version Java

  Utilisez la commande suivante pour vérifier la version de Java installée.
 
# Java -version 
 
Si vous ne avez pas java déjà installé sur votre système, utilisez ci-dessous lien pour 
installer la dernière version de java. 
 
  Installez JAVA / JDK 7 sur CentOS / RHEL 6/5 



Étape 2: Télécharger OpenOffice et Extrait

Télécharger OpenOffice d'Apache site officiel selon votre réglage du système ou utiliser la commande suivante pour télécharger.

Pour 32 bits:

 # Wget http://sourceforge.net/projects/openofficeorg.mirror/files/4.1.0/binaries/en-US/
    Apache_OpenOffice_4.1.0_Linux_x86_install-rpm_en-US.tar.gz
 # Tar xzf Apache_OpenOffice_4.1.0_Linux_x86_install-rpm_en-US.tar.gz

Pour 64 bits:

 # Wget http://sourceforge.net/projects/openofficeorg.mirror/files/4.1.0/binaries/en-US/Apache
   _OpenOffice_4.1.0_Linux_x86-64_install-rpm_en-US.tar.gz
 # Tar xzf Apache_OpenOffice_4.1.0_Linux_x86-64_install-rpm_en-US.tar.gz
 
 
Après avoir extrait l'archive, il va créer un répertoire d'installation nommé en-US, et placé tous les fichiers.

Étape 3: Installez Apache OpenOffice

Naviguer dans le répertoire d'installation Apache OpenOffice et à son dossier RPMS, vous verrez une liste de RPM là. Installez tous les régimes en utilisant la commande suivante.
 
 # Cd en-US / RPMS /
 # Rpm -Uvh * .rpm
Maintenant, installez les fonctionnalités d'intégration de bureau pour votre configuration. Aller au bureau-intégration dans le répertoire d'installation et installer le paquet requis.
 
 # Cd desktop-integration /
 # Rpm -Uvh openoffice4.1-redhat-menus-4.1-9764.noarch.rpm

Étape 4: Démarrer Apache OpenOffice

Après installé avec succès toutes les étapes ci-dessus dans des paquets, commencer Openoffice utilisant la commande suivante.
 
 # Openoffice4

 Ou vous pouvez également utiliser le menu GUI pour démarrer openoffice comme ci-dessous:

 



XII  FTP

XII.1. Client FTP
Un client FTP est un logiciel client pour la transmission de fichiers qui utilise le protocole de communication FTP.







XIII- Installer les logiciels Debian wheezy

 

 XIII.1 VMware Player  sur Debian Wheezy


sudo apt-get install build-essential linux-headers-$(uname -r)


$ wget -c http://goo.gl/JXy7L -O VMware-Player-5.0.2-1031769.x86_64.bundle.tar
 

$ tar -xvf VMware-Player-5.0.2-1031769.x86_64.bundle.tar
 

$ chmod +x VMware-Player-5.0.2-1031769.x86_64.bundle


XIII.2 Install Skype



sudo dpkg --add-architecture i386
sudo apt-get update

Les deux lignes ci-dessus assurent que si vous essayez d'installer un paquet de 32 bits, les dépendances de ce paquet pourrait être automatiquement détectés et installés. Ainsi, vous pouvez maintenant télécharger la dernière version du paquet Debian de www.skype.com/go/getskype-linux-deb et l'installer en utilisant gestionnaire de paquet dpkg les paquets Debian:


wget -O /tmp/skype.deb http://www.skype.com/go/getskype-linux-deb
sudo dpkg -i skype.deb
sudo apt-get install -f

Et voilà. Vous êtes maintenant en mesure d'utiliser la dernière version de Skype sur votre bureau Debian.

XIV. Développement d'un logiciel 



Le développement de logiciel est un ensemble d’activités exercées dans le but de créer de nouveaux logiciels, corriger et améliorer des logiciels existants. (http://fr.wikipedia.org/wiki/Cat%C3%A9gorie:D%C3%A9veloppement_logiciel)

Un logiciel est créé petit à petit par une équipe d'ingénieurs conformément à un cahier des charges établi par un client demandeur ou une équipe interne. Le logiciel est décomposé en différents modules et un chef de projet, ou architecte, se charge de la cohérence de l'ensemble.

Le cahier des charges est un document qui doit être respecté lors de la réalisation d'un projet. Cette expression est ancienne ; elle était par exemple utilisée sous l'ancien régime pour préciser la manière dont le bois devait être coupé et sorti de la forêt. Il était défini par Chailland comme « détail des principales conditions de la vente et des obligations de l'adjudicataire, qui se lit aux marchands assemblés avant l'adjudication »1.

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